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法兰西孤独的探索者—吕克贝松

 2023-06-16 11:06  

论文总字数:35636字

摘 要

吕克贝松,他所拍的电影题材多变,风格迥异。在大多数导演还继续沉醉在富有文学韵味以内心描写见长的艺术时,吕克贝松却游离之外,大胆向好莱坞挑战,投身到具有观赏性和娱乐性的类型电影方面中,并且取得巨大的成功。吕克贝松作品改变了法国八十年代电影低迷的状态,然而后期越来越迷失方向,变得过于商业化。本文主要被分为三部分,首先讲述他的生平和幼时的故事,其次用红、白、蓝三色来分析他的电影,因为这三种颜色正是法国国旗的颜色。最后纵观他的电影生涯,他确是在备受瞩目与争议中探索法国电影道路。

关键词:法兰西孤独的探索者; 面向世界;

Table des matières

1. Introduction

2. Présentation de Luc besson...................................................................................1

2.1 Rêve d’enfance dans le Grand Bleu.......................................................................2

2.2 Explorateur solitaire de la France...........................................................................3

3. Le plus « américain » des réalisateurs français...................................................4

3.1 Execution d’art de ses films...................................................................................5

3.2 Bleu........................................................................................................................6

3.3 Rouge ....................................................................................................................7

3.4 Blanc......................................................................................................................8

  1. L’humour et le « fast car » : la série de voiture de Luc Besson........................ 9

4.1 Les détails d"humour à la façon française.............................................................10

4.2 La romanesque française......................................................................................11

  1. Conclusion............................................................................................................12

6. Bibliographie.........................................................................................................13

1. Introduction

Le plus « américain » des réalisateurs français nous à qui pensons toujours, non content d’être souvent surestimé en tant que cinéaste, Luc Besson garde son réseau hollywoodien avec un nouveau film.Dans ce mémoire, j’ai pour objet d’explorer son voyage du cinéma à travers l’analyse de ses films.

Ce mémoire se divise en trois parties.Tout d’abord, nous aborderons la vie de Luc Besson et ses films principaux. Ensuite, en utilisant bleu, rouge, blanc, ces trois couleurs pour peindre ses films. Et en même temps je vous les analyse un peu par des personnages, des scénarios etc. De plus, il dote ses films des actions ainsi que des éléments comiques, soit les films au sujet de taxi, c’est ce que nous verrons dans troisième partie.

On voit bien la trace de son voyage sur le chemin du cinéma, il a considéré ses films au début comme une lame mousse afin de s’exprimer et puis comme son amant auquel il a donné le sentiment le plus sincère, à la fin comme un moyen d’affubler les autres de ridicule au moment où il ne pourrait pas être bien compris. Pourtant, ce chevalier mature du cinéma explique finalement dans ses films à mes yeux ni le monde ni la société ni l’humalité ni les moyens mais l’amour de son métier.

2. Présentation de Luc besson

2.1 Rêve d’enfance dans le Grand Bleu

Né en 1959 à Paris, le jeune Luc Besson suit ses parents, employés du Club Méditerranée, dans les îles où il passe une grande partie de son enfance. Il y développe un goût pour la plongée sous-marine et pense à sa profession avant qu’un accident ne brise net ce rêve de môme. De retour en France, il se tourne vers son autre passion : le cinéma.

Donc il retourne au lycée, je crois peut-être qu’il n’est pas facile pour lui de s’y adapter après plus de quinze années de vie au bord de la mer. Pourtant c’est à cette époque-là, qu’il s’intéresse de plus en plus au cinéma. Ayant l’espoir de s’approcher du tournage des films, il part aux Etas-Unis après la sortie du lycée. Pendant ses trois ans là, il joint le multiplexe de Chambéry au cours de son service militaire le soir, et pendant la journée, il fait de petits boulots comme assistant réalisateur qui sont souvent bénévoles mais il en tire de grands bénéfices. D’ailleurs, il ne cesse jamais d’écrire et de l’exploiter à sa propre façon pour la mise en scène. A mesure de ses expériences, il fait la connaissance de Pierre Jalivet avec qui il écrit différents sujets d’où va naître son premier clip sur le petit écran, et aussitôt après, voit le jour son premier court-métrage, l’Avant dernier dont l’action se déroule dans une ruine à la suite d’une catastrophe atomique, c’est entièrement tourné en noir et blanc, cependant, ce clip ne connaît pas un grand succès. C’est pourquoi il prend la décision d’en faire un long-métrage, soit son premier film Dernier Combat en cinémascope et aussi en noir et blanc, dans lequel il nous montre la survie de l’humain. Il est bien accueilli au festival d’Avoriaz en 1983. On dit qu’il n’utilise que 3,6 millions de francs pour avoir tourné ce film, au bout de dix semaines de tournage, ce qui tente de nous faire comprendre c’est qu’en France, bien qu’on n’ait pas eu la chance de recevoir des cours spécialisés dans le cinéma ou bien que l’on n’ait pu trouver des commanditaires pour recueillir des fonds suffisants, on peut quand même accomplir le tournage d’un film à la façon différente des autres. C’est plutôt pour ça qu’on le considère en un moment comme le pilote parmi les jeunes réalisateurs d’alors. Deux ans plus tard, il tourne le film Subway qui est récompensé par trois Césars.

Malgré que Luc Besson ait bien réussi, jamais il n’oublie son espoir d’enfance, c’est donc pour cela qu’il s’engage à tourner une œuvre qui lui tient profondément à cœur : Le Grand Bleu , dans lequel il verse sa passion d’enfance, il nous dépeint un spectacle magnifique de la mer. Bien qu’il soit mal reçu au Festival de Cannes de 1988, il est bien accueilli en Europe en faisant 10 millions d’entrées donc on ne pourrait pas s’empêcher d’étudier son grand succès autour des masses et surtout des jeunes.

2.2. Explorateur solitaire de la France

Luc Besson garde son réseau hollywoodien avec un nouveau film. Son amour pour l’Oncle Sam et sa fâcheuse tendance à penser ses films en fonction de ce qu’ils vont rapporter sur le plan international, agacent passablement, mais sa curieuse perte de mémoire sur « Malavita ».

Il passe allant du film d’art à celui de commerce avec deux films qui à la fois renouvellent le genre grand public du film de tueurs et assoient par ailleurs sa popularité en lui apportant la célébrité sur le plan international. L’un avec Anne Parillaud, qui reçoit le César de la meilleure actrice, Nikita raconte le cours de la transformation d’un condamnée à la réclusion à perpétuité pour le meurtre d"un policier en meurtière professionnelle de l’Etat et faisant remarquer son métier qui s’affronte peu à peu à la bonté au fond du cœur. L’autre avec Jean Reno, “Léon” décrit une histoire d’un tueur à gage qui a envie de faire du bien et d’une petite fille qui veut devenir «nettoyeuse» comme lui pour venger son petit frère, le seul qu’elle aimait, et devenant le film français le plus vu à l’étranger en 1995 ainsi qu’un exemple classique des films commerciaux même jusqu’à présent, entre autres, des dialogues comme

“don’t you ever do that again or I’ll break your head, you got that?”

“okay”

“I don’t like that il’s not prefessional, there is rules.”

“Okay”

“and stop saying okay all the time !”

“okay”.

“good”.

La plante verte auquelle les scénaristes hollywoodiens seront loins d’y penser, lui tenant compagnie pour toujours toucher extrêmement l’esprit du public. En effet, à partir des années 90 en France, la prospérité du film d’art qui d’après moi, ne prend pas leur profit comme l’objectif principal, sans des scénarios spéciaux ni des effets de truquage, enclin à faire refléchir plus profondément sur la vie, la nature, l’humanité etc et plus souvent difficile à comprendre accule le film commercial à une situation déconfite. De ce fait, ça coute souvent d’énorme courage pour tourner un film d’art hors de France étant donné le problème rigoureux d’existance, à l’inverse, il semble beaucoup plus courageux de passer un film commercial au goût d’un grand public en France, voilà qui est Luc Besson.

Au milieu des années 80, il a été surnommé par le monde de la critique un jeune réalisateur ayant un avenir très prometteur après les tournages de Subway et le Grand Bleu tandis qu’à la suite de Léon et Le Cinquième Elément dans les années 90, la critique de mécontentement vient à Luc Besson, malgré tout, celui-ci a réalisé 207 millions de dollars de profits dans le monde entier, occupant la troisième place parmi tous les films d’alors. Visant explicitement le marché américain, il place en tête d’affiche Bruce willis, Milla Jovovich et Le Besco dans une histoire au canevas traditionnel de fin du monde évitée de justesse, traitée dans un mélange d’humour, d’ironie et de grand spectacle. Cette superproduction devient l’un des plus gros succès commerciaux d’un film français aux Etat-Unis. En couronnement de ce triomphe, Besson reçoit le César du meilleur réalisateur en 1998, pourtant selon certains il n’est qu’un réalisateur qui tourne des films en France à la façon hollywoodienne. Les films commerciaux ne sont pas aimés en France même en Europe, comme quoi, ne devrions-nous pas remarquer le surcroit d’effort qu’il fait pour s’imposer ?

  1. Le plus « américain » des réalisateurs français

3.1 Execution d’art de ses films

Si Luc Besson est en train de poursuivre une voie qui s’éloigne de plus en plus de l’art du film du passé c’est parce que tôt dans le Grand Bleu il a déjà montré un gros enthousiasme pour le grand spectacle , maintenant en visant au marché mondial, il accorde davantage d’attention au type de ses films et n’hésite pas à augmenter sans cesse le coût de production, tout ce qui essuie des reproches des francais, pourtant il sait bien ce qu’il veut et ce à quoi il aspire vraiment. Finalement par ses deux films suivants:le Grand Bleuet Jeanne d’Arc, il atteste une réalité que les grands spectacles ne sont pas propres à hollywood et que les français sont assez capables non seulement de tourner des films à coût bas appartenent toujours à ceux de l’art mais aussi des superproductions de commerce rapportant des profits considérables partout dans le monde. Voilà un français lançant un défi aux réalisateurs américains sur leur territoire, on dirait qu’il devient un modèle d’aujourd’hui, c’est pourquoi on l’appelle Steven Spielberg en France, néanmoins on n’a rien sans mal, comme tous les directeurs célébres il paie de leur personne pour y arriver.

En tant que film à haut budget d’Europe, mal reçu au début de sa projection sur l’écran, le Grand Bleu excite pas un grand intérêt du public dont les français qui s’habituent aux films d’art et les américains qui sont encerclés par des superproductions hollywoodiens. On dit qu’il n’y a que le premier pas qui coûte, après moins d’un mois ce film est très bien reçu dans les pricipaux pays d’Europe et devient une réussite. Mais il ne s’en contente pas, en revenche il compte tourner un film qui va confondre l’imagination des spectateurs, donc bientôt Jeanne d’Arc a vu le jour. Choisissant la déesse au cœur des français, il fait réapparaître la guerre centenaire entre l’Angleterre et la France pendant laquelle, Jeanne, une fille ainsi qu’un soldat de France, sacrifie toute sa vie pour son pays natal. D’après lui, on est comme Jeanne qui entre la réalité et l’illusion se perd petit à petit, d’une part on est sur de tout ce qu’on fait, d’une autre part, on en doute. On mènerait une vie de cette façon, et finalement pourrait-on arriver à se trouver soi-même ?

3.2 Bleu

Que se soit avec Jack dans le Grand Bleu ou avec Léon dans Léon ou Jeanne dans Jeanne d’Arc c’est toujours Luc Besson que l’on trouve derrière ces personnages.

En 1988, Besson fait inscrire dans mon cœur une image impressionnante:au claire de la lune, gouaché avec de l’argent, sur un ciel sombre, le vent est tombé, les flots captent les reflets argentés, entourent un jeune garçon qui est en train de s’amuser avec un dauphin, un grand bleu à perte de vue. Filmé dans les profondeurs, les prises de vues sont inventives et poétiques, que ce soit le temps de l’enfance sur la plage en Grèce, le froid glacial du lac en glace au Pérou, ou encore la traînée douce du paysage de la Sicile. Le Grand Bleu, constamment mis en valeur par la musique d’Eric Serra, pose le cruel dilemme de deux passions qui s’affrontent, où s’intercalent l’amour romantique et l’irrésistible appel de la mer.

Ce n’est pas si difficile de trouver que ce scénario se déroule tout autour de la vie de Jacques. Prennant pour l’exemple son bon ami Enzo qui non seulement est son copain depuis l’enfance mais aussi rend moins solitaire l’histoire de la plongée de Jacques. La vie réelle, Jacques qui plonge, le monde sous la mer, ne peuvent pas, en principe, se fondre l’un avec l’autre, mais l’existence de Enzo fait briser cette limite : il excelle à plonger, de même que Jacques, et pour celui-ci, en plus d’un adversaire puissant dans les compétitions, il sert surtout d’un lien qui débouche sur l’univers dehors. Un jour, Enzo va trop loin, trop lontemps, à son retour en surface, il agonise dans les bras de son ami, le priant de confier son cadavre aux profondeurs de la mer, donc il n"est pas remonté. Tout bouleversé, n’ayant pas d’autre solution, du coup une grande douleur l’envahit, alors qu’ils restaient au fond de la piscine, sans respirer, en apnée pour voir qui peut y résister le plus longtemps, à longueur d’une dizaine de minutes de ce jeu provisoire, à ce moment-là ils sont joyeux et heureux!

Mais la solitude en ce personnage se fait plus remarquer, elle se manifeste ostensiblement aux détails tels qu’au moment ou l’on discute de tout et de rien, il garde toujours le silence envers les sujets fastidieux, qu’à face d’un défi lancé par Enzo, il l’accepte avec modestie en souriant, et qu’en écoutant cuire les poissons, il s’en va de suite amèrement. Il vaut mieux maintenir ses règles différentes depuis le debut jusqu’à la fin plutôt que d’être poussé par la gêne de la réalité. L’accident de la noyade de son père, l’expérience de grandir au bord de la mer, la vie isolée pendant laquelle il compte sur soi-même, tout le fait retourner au fond de la mer qui selon moi signifie le départ de la vie pour lui.

Son affection pour la mer est hors pair, ce qui est bien refleté non seulement dans Le Grand Bleu mais encore dans Atlantis à la façon très personnelle, qui fait part aux spectateurs de son amour sans borne pour les animaux aquatiques et la splendeur des fonds marins: un monde irréel habité par des créatures de légende, qui ont pour nom requins, orques, dauphins...Ici, l"homme n"a pas sa place. C"est un univers parfois chatoyant et heureux, parfois glacé et terrifiant. Il nous amène dans un ballet aquatique, nous fait emerveiller du changement d’une vue magnifique au fond de la mer entre le lever et le coucher du soleil. Si un sang bleu coulent dans les vaisseaux sanguins de Besson d’alors, une fois qu’il a pris sa décision de se dégager du sein de la mer afin d’aller à la cherche d’un paysage splendide à son bord, d’un coup l’enthousiasme rouge inonde tout son corps.

3.3 Rouge

Après le grand succès avec Le Grand Bleu, comme la plupart des réalisateurs européens, Luc Besson est invité par Hollywood à tourner des films aux Etats-Unis. “Léon” est son premier ouvrage américain qui lui permet de devenir très connu surtout en Chine. Dans le marché remplie de grands spectacles, différent des autres, il augmente le facteur distrayant par l’impact visuel et la manœuvre exagérée des caricatures, et les scènes inoubliables des fusillades comptent aussi une des raisons de sa réussite.

Chaque fois que je vois Léon, il est toujours aussi prenant et agréable que la première fois. Tristes, drôles, violents, émouvant incroyablement---peu de films parviennent à cocher toutes les cases et encore moins nombreux lorsqu’il s’agit des tueurs à gages. Je suis saisiE d’un seul coup lorsque l’homme de tête comme présence à l’écran autant que Léon: portant des lunettes, buvant un verre de lait d’une seule haleine, tuant les gens brusquement et rapidement, tout ce qui nous dépeint un tueur à gage méticuleux, redoutablement efficace, insaisissable et puissant du début jusqu’ à la fin: deux cents policiers assiègent son logement. Plusieurs d’entre eux vont périr sous les coups du tueur avant que celui-ci rende l’âme, sauvant la vie de Mathilda et entraînant Stansfield avec lui dans la mort. On y jouit d’une série de poursuites, des flashs des moyens d’assassiner, de la volupté de tirer 350 balles tous les 12 secondes, mais il n’y manque pas de détails romantiques, notamment les descriptions uniques des personnages principaux qui s’implantent profondément dans les cœurs des spectateurs. Léon a une innocence et la compassion qui vous fait vous prendre d’affection pour lui soudainement. La vie de Léon est simple comme celle d’un petit enfant : télévision, une profusion de lait et de l’assassinat de temps en temps. Il ne sait pas lire, il ne dort pas, il n’a pas les soucis de famille ou de richesse…en bref, il vit comme un robot jusqu’à ce qu’une petite “souris” pénètre dans son univers. Une petite fille qui s’appelle Mathilda. Quand elle insiste pour venger son petit frère, le seul qu’elle l’aime dans sa famille, elle fait preuve d’avoir de violents accès d’hystérie ; alors qu’elle représente des scènes en se déguisant en star avec Léon, elle a l’air d’être naïve et inexpérimentée ; et tandis qu’elle parle des sentiments avec Léon, elle devient tout d’un coup une femme mature…sur sa face, une histoire d’amour entre une fille de douze ans et un tueur âgé à gage provoquerait peut-être des doutes sur leurs sentiments l’un envers l’autre, mais le réalisateur Luc Besson le traite si bien qu’il semble que c’est la chose la plus naturelle sur terre. Ils sont unis comme dans un même corps--en fait, la scène où Mathilda se promène tranquillement dans le couloir après le carnage dans son appartement et frappe à la porte de Léon, l’implorant dans un murmure en pleurant à son voisin est tellement suffocante.

Léon est directement inspiré de Victor, nettoyeur de son état, inventé par Luc Besson dans Nikita. Entre les deux films, le personnage a changé de prénom et gagné en humanité, passant d"un fond émouvant et presque enfantin dans Léon, à un caractère froid et mystérieux dans Nikita qui est considère comme un film d’action et de fiction classique, là non seulement on trouve une histoire tellement émouvante mais aussi on est impressionné par sa façon à la fois simple et forte du tournage des films et sa passion à la française inversée dans ses œuvres. D’un point de vue d’une espionne assassin, il décompose le groupe terroriste derrière l’Etat, et il ressort de là que la puissance considérable de l’amour qui est apte à réveiller notre humanité. Dans ce film il met le goût de la vie en parallèle avec la cruauté de la réalité, ce qui fait sombrer dans un abîme le personnage principal Nikita en portant l’espoir de se débrouiller. D’ailleurs, c’est le premier film dans lequel il prouve son talent de diriger les scènes de fusillades qui ne sont pas du tout légèrement inférieures à celles de Hollywood.

3.4 Blanc

On dit que l’inspiration du Cinquième Elément provient d’un rêve tout éveillé de l’époque où il reprend ses études, mais en tout cas, pour lui, si la couleur bleu représente l’espoir et le rouge incarne la passion alors le blanc figure l’illusion.

En 1997, il se lance avec le groupe Gaumont dans un ambitieux projet de science-fiction : Le Cinquième Élément. Le design d’une grande ville future, des armes et des munitions du futur, des figurations des personnages cosmiques, il nous raconte une histoire au canevas traditionnel de la fin du monde évitée de justesse, traitée dans un mélange d"humour, d"ironie et de grand spectacle. Ce film nous embarque dans un univers où les voitures ne touchent pas le sol et volent dans les airs, il y a aussi des vaisseaux spatiaux, Les décors sont sublimes et les couleurs sont pétantes autant dans les habits que les cheveux, tout est bien imaginé par Besson et il nous fait rire aussi par les situations ou les répliques de certains, comme où Zorg s’étouffe à cause d’une cerise en présence du prêtre. Cette superproduction devient l"un des plus gros succès commerciaux d"un film français aux États-Unis…

En comparaison avec le Cinquième Elément, le Dernier Combat au même sujet du futur est enclin à un film d’art européen. Celui-ci nous montre un monde détruit où il n’y a que quelques survivants, malheureusement ils ne savent pas parler ni peuvent cohabiter en paix. Donc on se dispute l’eau et la nourriture, des comportements barbares remplacent des communications verbales, les relations des hommes se trouvent dans une situation intense à tout moment. C’est un film sans couleurs ni paroles ni stars, qui est entouré par des mystères : pourquoi tous les personnages n’ont pas la capacité de parler à nouveau ? pourquoi il n’y a pas de femmes entre eux ? pourquoi les survivants se rassemblent pour déclancher la guerre ? tout ce qui nous permet d’exclamer comme il est malin, déjà qu’un film sans dialogue et en noir et blanc fait tant de contraintes en moins à bien maîtriser, toutefois, Luc Besson prouve sa compétence de la mise en scène. Bienque le récit n’aie rien de spécial, il raconte une histoire très simple entre une brute (Jean Reno)et un homme solitaire (Pierre Jolivet), le rythme est qnand même bien tenu. Enfin dans un laboratoire sur la terre dévastée, il nous laisse voir l’espérence de la possibilité de communiquer par un scientifique qui essaye de retrouver l’usage de la parole, et une rencontre entre une jeune femme et le solitaire donne la fin de ce film, il semble que l’amour est un remède au déclin de l’humanité, qui se fait réveiller les gens sauvages en leur faisant comprendre que la vie en paix est une chose merveilleuse.

Bien qu’il le decrive de manière un peu noire les façons de survivre et de mourir dans le désert, jamais il ne pert l’espoir ainsi que la solitude de la vie en amour.

4. L’humour et le « fast car » : la série de voiture de Luc Besson.

Grâce à la série des films Taxi, la vente de la Peugeot 406 connaît un essor dans le marché des voitures, pourtant les américains ne s’intéressent pas cette voiture française, par contre ils mettent la BMW en scène dans le Transporteur. Mais ces deux films se déroulent sur la voiture et les personnages sont épris de voitures et de vitesses afin de montrer la rapidité et la passion. Luc Besson ne ménage jamais d’encres : dans la ville et le désert, dans le quartier commerçant et la ruelle toute étroite, dans le port et la colline reboisée, dans le village tranquille, la vibration sonore de monteur déchire ce silence et met en scène d’une fête visuelle à un rythme effréné. Si on dit que ces deux films ont des actions en commun, il est hors de doute qu’il ajoute les éléments modernes dans ses films par le tournage de la vitesse en vrai, de scène de courses intensives.

Ce qui est différent, c’est que Taxi tourné à Marseille met plus l’accent sur la façon romantique dans les courses, tandis que le Transporteur est plutôt en quête d’une poursuite plus furieuse. Les trois séries de celui-ci commencent toujours par un silence dans un garage où il n’y a qu’une voiture noire à l’arrêt, dedans, est assis un homme ayant l’air sérieux, soit le personnage principal. On peut y voir aussi beaucoup d’actions, Frank Martin confié par le directeur de la police s’infiltre tout seul à travers le champ où se garent des camions remplis des clandestins, apparemment il est très courageux et ne s’inquiète pas pour lui, car comme ce que l’on peut voir après, il montre de la dextérité à battre les“ennemis”à coups de poings et de pieds, et après se déroule sur une autoroute une poursuite entre un camion et une voiture. Au contraire, Luc Besson met le taxi en parallèle avec le TGV le train le plus rapide d’alors, utilise le fait que aucun client ne peut s’empêcher de vomir dès que le taxi s’arrête afin de mettre sa grande vitesse en relief.

4.1 Les détails d’humour à la façon française

De même que chaque pays a son propre sens de l’humour, les français ont le leur ; qui selon moi est soit un peu noir, soit n’a pas de sens réels, tout ce qui fait ressortir des comédies avec un charme unique. Tels que :“huit fois, ça ne fait rien du tout, il a passé vingt fois, évidemment à la fin il a obtenu son permis de conduire”, une parole dans Taxi 1, Le toit d’une BMW entraîné à terre par un tracteur, un détail dans“le transporteur 3”, les américains ne peuvent pas y penser.

Mettant en relief la réflexion sur l’histoire et la vie, il n’oublie pas d’utiliser les facteurs comiques à la façon française pour enrichir ses oeuvres commerciales. On voit facilement dans “ Taxi”des gestes drôles et exagérés, on n’a pas besoin d’y penser trop pour rire. Chaque fois qu’on se met à exécuter la mission, le commissaire Gibert se déguise d’une façon marrante, peut être c’est pas logique, pourquoi il agit comme ca ? il n’est pas bête ? Je crois que c’est plutôt pour rendre ce film plus amusant autant qu’un facteur comique. Quand ils sont en mission devant une banque pour arrêter un groupe qui a pillé plusieurs fois des banques, quand le commissaire a plein de confiance dans la réussite de cet acte, un truc géant apparaît à leurs yeux, passe au dessus de la voiture, donc ils se lancent de suite dans une chasse furieuse dans la rue, alors qu’un marchand est en train de vendre à un client une télécommande sur laquelle lorsque l’on appuie le bonton les policiers viennent, à peine il termine de prononcer ses paroles, que s’élève soudainement le sifflet d’un agent de police. Faisant les gros yeux, le client ne peut pas s’empêcher de s’émerveiller comme c’est efficace !. Et après quelques minutes de poursuite, la voiture évite de tomber dans la piscine grâce au stationnement à temps, on Respire alors, mais l’arrivée consécutive des voitures suivantes la poussent finalement dans l’eau, à ce moment là, les commissaires sont très calmes en louant l’étanchéité de sa voiture de police. Voilà n’est-ce pas un humour propre aux français ? Un humour grotesque dans lequel les protagonistes ne réalisent pas ce qu’il leur arrive, ce qui accentue l’effet comique.Je sais pas comment expliquer exactement, mais chaque fois qu’ils provoquent un malheur, ils ne s’en rendent pas compte comme si ca se passe naturellement, et les victimes, soit eux-même soit les autres. Dans la plupart des cas, ils s’agissent tel que ca n’a aucun rapport avec eux.

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