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毕业论文网 > 毕业论文 > 文学教育类 > 法语 > 正文

法语复杂句句型结构分析与翻译

 2023-06-07 09:06  

论文总字数:32220字

摘 要

法语中的复杂句分为平列句、并列句和主从复合句。平列句由两个或两个以上独立分句之间不用连词,仅用逗号、分号或冒号隔开的形式构成。多用在口语中,旨在表述动作或状态,平列句之间的语义关联是隐含的。并列句是由并列连词连接的两个或两个以上独立分句构成。主从复合句是由主句通过从属连词或从属连词短语引导一个或几个从句构成,从句用来补足主句的意义,通常称之为补语从句。并列句和主从复合句的分句之间关系多样,有原因、递进、结果、目的、方式等。本文通过对三种复杂句的句型结构分析,找到句意理解的突破口,方便学习法语的中国青年进行复杂句的翻译。

关键词:单句;复合句;连词;从句;主句;汉译

Table des matières

1. Introduction 1

2. La structure des phrases complexes 1

2.1 Les propositions coordonnées 1

2.2 Les propositions juxtaposées 2

2.3 Les propositions principales et subordonnées 3

3. La relation entre les propositions des phrases complexes 7

3.1 La transition entre les phrases simples et les phrases complexes 8

3.2 Les plusieurs propositions subordonnées compléments spéciaux 8

3.3 La répetition de « que » 9

4. Le problème et l’empêchement de la traduction des phrases complexes 9

4.1 La difficulté de la lecture et la compréhension 9

4.2 Le problème de la concordance des temps 10

4.3 Le subjonctif ou l’indicatif 11

5. Conclusion 12

Bibliographie 13

1. Introduction

Les phrases complexes françaises sont un aspect important pour apprendre le français. La structure des phrases complexes sont diverses. De différentes phrases ont de différentes formations et les modes d’emploi sont différents. Les phrases complexes sont différentes des phrases simples. Les phrases simples sont composées d’un subject-prédicat structure indépendant. Cependant, les phrases complexes sont composées de deux ou plus de phrases simples. Ces phrases simples sont corrélatives l’un de l’autre. Quelques phrases simples égales forment les propositions coordonnées. En outre, quelques phrases simples inégales en syntaxe forment les propositions principale et subordonnée. Les phrases complexes comme un genre des phrases françaises sont utilisées plus fréquemment dans la production écrite. Ce texte analyse la structure des phrases complexes, la lecture et la compréhension des phrases complexes pour les traduire plus facilement.

2. La structure des phrases complexes

N’importe quelle langue, il y a toujours des phrases simples et des phrases complexes. Les phrases complexes sont plus diverses. D’après de différentes structures, les phrases complexes sont divisées en trois catégories: les propositions juxtaposées, les propositions coordonnées et les propositions principales et subordonnées. Les phrases complexes sont composées de plus de deux propositions indépendantes. En raison de ses propres structures compliquées, tout en mettant l’accent sur la structure et la concordance des temps, on les voit beaucoup dans l’expression d’écrit. 

2.1 Les propositions coordonnées

Les propositions coordonnées se composent de deux ou de plusieurs propositions indépendantes qui sont reliées par les conjonctions de coordinations. On utilise les conjonctions comme « car, d’ailleurs, donc, et, mais, ou, pourtant, puis » pour relier les propositions. La structure des propositions coordonnées avec des conjonctions est relativement stable. On détermine de différentes relations des propositions par les significations des conjonctions de coordinations. Dans les propositions coordonnées, on utilise différentes conjonctions pour exprimer différentes significations comme la cause, la conséquence, l’opposition, l’option etc. En général, on peut exprimer la cause par car, par exemple, « Il ne vient pas, car il est malade. » (他不来了,因为他生病了。) Mais on doit faire attention à l’usage de « car », « car » est toujours au milieu des phrases, il faut distinguer « car » avec d’autres conjonctions comme « puisque, parce que, comme ». De plus, « en effet » est aussi utilisé à exprimer la cause. Son usage ressemble à « car » et tous les deux sont communs dans l’expression d’écrit. Pour exprimer l’opposition, on peut utiliser mais, pourtant, cependant, néanmoins etc. Par exemple: « Il habite loin, pourtant il n’a jamais été en retard. » (他家远,但他从没迟到过。) Mais l’usage de mais est plus général. Et même, l’utilisation des conjonctions des oppositions est similaire. Pour exprimer la conséquence, on utilise donc, ainsi, enfin, c’est pourquoi, aussi, par conséquent pour relier deux propositions. Mais l’usage de aussi est très spécial. Après « aussi », il faut utiliser l’inversion. Le verb est mis devant le sujet. Par exemple, « Ces étoffes sont belles,aussi coûtent-elles cher. » (这些布料很漂亮,所以价格也贵。) Les conjonctions comme « ou, sinon, soit...soit » etc qu’on utilise pour exprimer l’option. « Ou » est plus commun et son usage est diverse. Un ou signifie l’option, mais ou...ou signifie l’accent. Dans toutes les propositions coordonnées, la conjonction « et » est le plus commune et elle a beaucoup d’usage qui signifie la succession ou avoir plusieurs choses en même temps. Et même, parfois, on utilise « et » pour exprimer l’explication complémentaire ou la conséquence. Mais moins. En outre, il y a beaucoup de phrases qui n’ont pas de conjonctions dans les propositions coordonnées. Mais ces phrases aussi peut exprimer l’opposition, la cause etc. Par exemple cette phrase « Je lui donne le plan. Il y va tout seul. » (我给了他地图。于是他自己去那儿了。) Dans les propositions coordonnées comme ça, on peut ajouter des significations de certaines conjonctions selon les significations des propositions.

2.2 Les propositions juxtaposées

Entre deux ou plus de deux propositions indépendantes, on seulement utilise virgule, point-virgule ou deux point pour relier des propositions concomitantes au lieu d’utiliser les conjonctions. On nomme les phrases comme ça « les propositions juxtaposées ». En général, les propositions juxtaposées qui n’ont pas de conjonctions parmi les propositions sont utilisées plus dans l’expression orale. L’objet des propositions juxtaposées est de présenter une série d’actions ou états plutôt que de souligner des relations sémantiques. Par example: « On chante, on danse, c’est la fête. » (大家唱啊,跳啊,一片欢声笑语。) Dans cette phrase, il n’y a pas de relation claire. En effet, il y a beaucoup de phrases comme ça. Toutes les phrases n’existent pas de relations sémantiques évidentes. On peut voir ces phrases généralement dans l’expression orale. Dans certains cas, si l’on veut préciser les relations des certaines propositions juxtaposées, on doit savoir qu’il n’existe que des relations implicites. Les propositions juxtaposées sans conjonctions peuvent aussi exprimer relations multiples comme le temps, l’opposition, la causalité, la condition etc. En la relation de temps, il y a non seulement la relation « en même temps », mais aussi la relation de « l’un après l’autre ». Par exemple, cette phrase: Je nettoie l’escalier, tu ranges les affaires. (我打扫楼梯,你收拾东西。) Evidemment, il existe la relation ‘en même temps’ entre les deux propositions. De plus, regarde l’autre phrase, « Il n’y a rien à faire, il faut que tu viennes ! » Dans cette phrase,on peut trouver la relation de l’opposition et la traduit en « 尽管没有什么事要做,但你也得来 ». D’ailleurs, la phrase « Il se fatigue d’être assis, il se lève. » Il existe la relation « la causalité ». La traduction est « 他坐累了,便站了起来 ». Et pourtant ces relations entre les propositions sont implicites toujours. En conclusion, dans toutes les propositions juxtaposées comme ça, généralement, il faut savoir les sens des phrases pour trouver les relations implicites entre les propositions.

2.3 Les propositions principales et subordonnées

Comme les propositions coordonnées et les propositions juxtaposées, les propositions principales et subordonnées se composent de deux ou plusieurs propositions. Parmi les phrases, une proposition se subordonne d’autres propositions en grammaire. On nomme les propositions qui sont dans la position subordonnées « les propositions subordonnées ». Et aussi, on nomme les propositions qui sont dans la position dominante « les propositions principales ». Dans les propositions principales et subordonnées, la relation entre les propositions principaux et les propositions subordonnées est liée étroitement. Les propositions subordonnées ne vont pas avoir la signification complète sans l’existence des propositions principales. Et même, s’il n’y a pas le contraste des propositions subordonnées, les propositions principales ne peuvent pas exprimer des idées plus complexes. Comme les propositions subordonnées ont de différentes fonctions dans les propositions principales et subordonnées, on peut les diviser en trois genres: les propositions adjectives, les propositions substantives et les propositions adverbiales.

2.3.1 Les propositions relatives

En général, on nomme les propositions adjectives « les propositions relatives ». Les propositions subordonnées ont la relation avec les propositions principaux par les pronoms relatifs qui, que quoi, dont, lequel ou l’adverbe relatif « où ». Les propositions relatives sont mises après les antécédents. Dans les propositions principales et subordonnées, une proposition relative est équivalant à un adjectif. Néanmoins,parfois, les propositions relatives peuvent établir des relations avec toute la proposition principale au lieu d’établir des relations avec certaine partie. Dans cette condition, les propositions relatives combinent avec les propositions principales par ce qui, ce que, ce dont. Par exemple: Ils n’ont pas d’enfants, ce qui est dommage. Dans cette phrase, « ce qui » indique le contenu de « Ils n’ont pas d’enfants. » Donc, la traduction est « 他们没有孩子,这是件遗憾的事 ». Pourtant,les propositions relatives c’est à dire les propositions adjectives sont divisées en quatre genres: la proposition adjective déterminative, la proposition adjective explicative, la proposition adjective attributive et la proposition adjective considérée comme indépendante. La proposition relative déterminative, c’est pour expliquer le caractère différent entre quelque chose et la chose de la même catégorie, marquer ou souligner une seule chose. Attention! Dans ce cas, n’utilise pas la virgule pour séparer la proposition principale et la proposition subordonnée. Par exemple: « Les détails qui ne servent à rien ont été suprimés. » Le pronom relatif « qui » remplace « les détails » pour le marquer et devient le sujet de la phrase subordonnée. La proposition relative explicative a la fonction de la description plus détaillée pour la chose ou l’état. Dans les phrases comme ça, les propositions principales et les propositions subordonnées ont leurs propres indépendances. Généralement, ce genre de proposition subordonnée est placé entre le sujet et le verbe, séparé par des virgules. Par exemple: « La Seine, qui coule à Paris, est un grand fleuve. » La proposition principale et subordonnée de cette phrase ont les sens indépendants et complets. Pour la proposition relative attributive, la proposition subordonnée parfois est relative au sujet de la proposition principale, parfois est relative à l’objet direct de la proposition principale. Il y a trois catégories suivantes: ①La proposition relative est mise après les prédicats être, rester, se trouver etc et suivie par le complément sur le lieu et la condition. ②La proposition relative suit les verbes sensoriels entendre, voir, écouter etc. ③La proposition relative suit les verbes rencontrer, trouver, avoir etc. Par exemple: « Il est là-bas qui arrose. Je l’ai rencontré qui se promenait. » La première phrase, le pronom relatif « qui » remplace le sujet « il » et la deuxième phrase, « qui » remplace l’objet direct « le ». La proposition relative considérée comme indépendante existe souvent dans la proposition exclamative. Si l’on supprime la proposition relative, la phrase devient une proposition indépendante c’est à dire la proposition relative considérée comme indépendante. Par exemple: « Dans l’air, une balle qui siffle ! » Sans « qui siffle », le reste de la phrase devient la proposition indépendante.

2.3.2 Les propositions subordonnées compléments

On nomme les propositions substantives « les propositions subordonnées compléments ». Elles ont la fonction de substantif. La proposition subordonnée complément a la relation avec la proposition principale par la conjonction de subordination ou la locution conjonctive pour compléter le sens de la proposition principale. Les mots qui introduisent des propositions subordonnées compléments sont plus, comme la conjonction de subordonnée « que », les locutions conjonctives « de ce que, à ce que », les mots interrogatifs « qui, pourquoi, quand, si, comment, quel », les pronoms relatifs sans antécédents et le pronom indéfini « quiconque », encore y compris des conjonctions de temps « lorsque, depuis que, pendant que » etc. Par exemple: « J’ai entendu dire qu’elle est déjà partie. Le prof est arrivé pendant qu’il pleuvait. » Dans deux phrases, « que, pendant que » ont la fonction de compléter le sens de la proposition principale. Cependant, le cas spécial, si on veut utiliser plusieurs propositions subordonnées, il faut répéter le pronom relatif « que ». Comme cette phrase « Tu crois qu’il pleuvra et qu’il fera du vent demain ? » En raison d’avoir deux propositions subordonnées, on répéter « que ». Dans les propositions subordonnées compléments, les propositions subordonnées introduites par « que » peut-être utilise l’indicatif, aussi peut-être utilise le subjonctif, ça dépend de la nature du mot. Généralement, si l’on veut exprimer la conviction, la déclaration, l’assurance etc par le ton affirmative, il faut utiliser l’indicatif. Si l’on utilise les mots exprimant la volonté, le sentiment, le doute, la suggestion etc par le ton d’hypothèse, il faut utiliser le subjonctif. Par exemple: « Je vous garantis que Paul viendra. La direction du magasin propose que les horaires de travail soient modifiés. » La première phrase exprime l’assurance, la deuxième exprime le sens de suggestion. Toutes les propositions subordonnées compléments suivant après les substantifs, les adjectifs et les locutions impersonnels sont utilisées selon cette règle.

2.3.3 Les propositions circonstancielles

Les propositions subordonnées qui ont la fonction de l’adverbe sont nommées « les propositions adverbiales ». Elles servent de complément circonstanciel dans les propositions principaux et modifient les prédicats, les adjectifs et d’autres compléments circonstanciels. On les nomme aussi « les propositions circonstancielles ». Les propositions adverbiales sont introduites par  la conjonction de subordination ou la locution conjonctive, ou on peut changer le prédicat de la proposition subordonnée en participe. Toutes les phrases comme ça ont la fonction de complément circonstanciel. En général, les propositions adverbiales sont divisées en huit catégories, y compris le lieu, la cause, le temps, la conséquence, le but, la concession, la condition et la comparaison. Dans la proposition circonstancielle de lieu, on utilise « où » à introduire. Dans la propositon circonstancielle de cause, si la phrase raconte la chose réalisée, on peut utiliser parce que, comme, étant donné que etc à introduire, si c’est pour exclure la fausse cause et affirmer la vraie cause, on doit utiliser non que, non pas que, ce n’est pas que...mais parce que etc, si c’est pour expliquer la cause connue, on utilise si...c’est parce que..., si la proposition subordonnée explique la cause et la proposition principale présume le résultat, on peut utilise puisque, du moment que à introduire la proposition subordonnée. D’ailleurs, il y a des modes diverses. On utilise l’indicatif pour la vraie cause, le conditionnel pour la cause possible ou imaginée. Si c’est pour expliquer la cause inexistante, on peut utiliser la subjonctif avec non que, non pas que. Dans la proposition circonstancielle de temps, les mots sont divisés en deux: l’un après l’autre ou en même temps. Par exemple: quand, lorsque, pendant que, avant que, jusqu’à ce que, au moment où etc. Quand la proposition principale et la proposition subordonnée sont en même temps ou la proposition subordonnée arrive avant la proposition principale, il faut utiliser l’indicatif. Si la chose est imaginée, on doit utiliser le conditionnel. Si la proposition subordonnée arrive après la proposition principale, on doit utiliser la subjonctif. Dans la proposition circonstancielle de conséquence, il y a des mots fréquents: de manière que, de façon que, si bien que. De même, on utilise l’indicatif pour la conséquence affirmative, le conditionnel pour la conséquence imaginée ou possible, la subjonctif après les mots comme assez..pour que, trop...pour que. Dans la proposition circonstancielle de but, on souvent utilise « pour que, afin que ». Si c’est l’intention que le sujet veut esquiver, on utilise « de peur que, de crainte que ». Généralement, on utilise la subjonctif après la proposition de but. Dans la proposition circonstancielle de concession, il y a des mots fréquents: bien que, quoique, encore que, qui que, quoi que, quel que, pour...que, même si, quand bien même. Si l’action est vraie, on utilise la subjonctif. Le conditionnel suit après « quand bien même, quand, alors même que ». Après même si, il faut utiliser l’indicatif. Pour la proposition circonstancielle de condition,on souvent utilise si et le conditionnel. Si la proposition subordonnée exprime la condition suffisante, on utilise « pourvu que, à moins que » à introduire. Il y a encore d’autres conjonctions: au cas où, à condition que, à supposer que. Après la plupart des mots se terminant par que, il faut utiliser la subjonctif. Dans la proposition circonstancielle de comparaison, il y a des mots comme « comme; comme si; plus, aussi, moins que ». En géneral, on utilise l’indicatif, mais si c’est pour exprimer la chose possible ou imaginée, on utilise le conditionnel. Après comme si, on peut utiliser l’imparfait, le plus-que-parfait ou le conditionnel passé IIe forme.

3. La relation entre les propositions des phrases complexes

Il y a beaucoup de relations entre les propositions des phrases complexes comme « cause et effet, l’un après l’autre, l’opposition, la condition, en même temps ». Les relations entre les propositions sont précisées par les corrélatives. S’il n’y a pas de corrélatives, il faut analyser le sens de la phrase pour savoir la relation entre les propositions.

3.1 La transition entre les phrases simples et les phrases complexes

Pour la transition entre les phrases simples et les phrases complexes, le sens de la phrase ne change pas évidemment. Plus généralement, on change la proposition subordonnée de la phrase complexe en locution. Que la phrase soit la proposition relative ou la proposition subordonnée complément ou la proposition circonstancielle, on peut les changer en la phrase simple. Mais quand la phrase simple se transforme en la phrase complexe, il faut changer la locution en la proposition subordonnée. En même temps, selon les sens de plusieurs phrases simples, on utilise les conjonctions à relier les phrases simples pour préciser la relation, ce qui forme la proposition coordonnée des phrases complexes. Si plusieurs phrases simples sont reliées par virgule, deux points, point-virgule, ce qui forme la proposition juxtaposée. Si on change quelque part ou quelque locution de la phrase simple en la phrase subordonnée qui est introduite par conjonction, alors la phrase entière devient la proposition principale et subordonnée. Modifiez le complément circonstanciel de la phrase simple et le remplace par la proposition avec la conjonction circonstancielle, ce qui forme la proposition circonstancielle. Modifiez l’adjectif ou l’apposition pour devenir la proposition relative. Modifiez l’infinitif ou le nom abstrait et le remplace par la proposition avec la conjonction pour compléter le sens de la phrase, ce qui forme la proposition subordonnée complément. Si on change la phrase complexe en la phrase simple, on doit savoir les termes de la phrase et la proposition subordonnée et ensuite la transforme en locution. Quand la proposition circonstancielle se transforme en phrase simple, il faut changer la subordonnée en l’apposition ou le nom et l’infinitif suivant la préposition; quand la proposition relative se transforme en phrase simple, change la subordonnée en l’apposition ou l’adjectif. Pour la proposition subordonnée complément, on change la subordonnée en locution substantive.

3.2 Les plusieurs propositions subordonnées compléments spéciaux

3.2.1 « que » après l’adverbe

Les adverbes qui peuvent introduire la proposition subordonnée complément sont moins. Par exemple: bien sûr, heureusement, peut-être, probablement, sans doute etc. Après ces termes, on utilise l’indicatif. Par exemple: Bien sûr que vous avez raison. Probablement qu’Annie ne voulais pas.

3.2.2 « que » après l’adjectif

Il y a beaucoup de termes qui peuvent introduire la proposition subordonnée complément. Mais il faut utiliser les modes différents selon la nature des mots. Par exemple: sûr, certain, convaincu, persuadé etc. Ces mots peuvent indiquer le sens de « point de vue, la déclaration, la croyance » etc et après les mots, on doit utiliser l’indicatif et n’utilise pas l’indicatif dans les formes négatives. Après « trouver.../être... », on utilise les adjectifs qui indiquent « la volonté, le sentiment, le doute, la suggestion » etc et après ces mots, il faut utiliser la subjonctif. Par exemple: « On est certain qu’il viendra. » « Je trouve bon qu’elle prenne des vacances en Chine. »

3.2.3 « que » après la locution impersonnelle

Il y a aussi l’indicatif et la subjonctif dans ce genre de la proposition subordonnée complément. Après les mots comme « Il est certain/clair/exact/probable/sûr » etc, ces mots indiquent « point de vue, la déclaration, la croyance », on utilise l’indicatif. Après les mots comme « Il est ennuyeux, essentiel, important, naturel, normal...que, il faut, il arrive, il suffit...que » ces mots indiquent « la volonté, le sentiment, le doute, la suggestion », on utilise la subjonctif. Par exemple: « Il est clair qu’elle a tort. Il est important que nous agissions vite. »

3.3 La répetition de « que »

S’il y a deux ou plusieurs propositions subordonnées compléments utilisées en même temps, il faut répéter « que ». Par exemple: Je pense qu’il pleuvra et qu’on ne sortira plus. Deux propositions suivent après la même phrase principale.

4. Le problème et l’empêchement de la traduction des phrases complexes

4.1 La difficulté de la lecture et la compréhension

Il y a peu de difficulté pour la lecture de la phrase complexe. Mais fait attention à l’élision pour les corrélatives avec que ou si. Quand on lit la phrase complexe, à condition qu’il n’ait pas de corrélatives, on doit comprendre le sens de la phrase et intercaler les corrélatives convenables par soi-même selon la relation entre les propositions. Par exemple, « Vous parlez en soldat, je dois agir en général ». Dans cette phrase, il existe la relation d’opposition. On peut ajouter le corrélative « mais » pour comprendre cette phrase. Par cela, on peut comprendre la phrase plus facile. En fait, on peut trouver la relation entre les phrases souvent. Ou quand on ne sait pas le sens du corrélative, on peut deviner le sens d’après la relation entre les propositions. Par exemple, « Elle a attendu longtemps sans que rien ne se produise ». Dans cette phrase, si on ne sait pas le sens de « sans que », On peut traduire des autres en « 她等了很长时间,什么事也未发生 » et en même temps on trouve la relation sur le conséquence. Une autre phrase: Il surveille l’évacuation à cette fin que personne ne tire au flanc. De la même façon,on peut traduire en « 他守护着撤退的人员,不让任何人从侧翼袭击他们 », donc on sait le sens de « à cette fin que » , il veut exprimer le fin. Quant à la phrase plus complexe, on peut la prendre pour plusieurs phrases simples. Quand on apprendre les phrases complexes, on lit souvent un article pour examiner notre étude. Mais comme d’habitude, il y a beaucoup de phrases complexes, c’est très facile de comprendre.Il faut diviser les structures des phrases. On doit savoir les phrases sont composées de plus de phrases simples et une phrase simple est composée d’une subject et prédicate.

4.2 Le problème de la concordance des temps

La concordance des temps de la phrase complexe est très importante. D’abord, on doit préciser la relation entre la proposition principale et subordonnée. C’est différent pour les relations « cause et effet, l’un après l’autre, l’opposition, la condition, en même temps ». Quelquefois, la concordance des temps est selon les corrélatives. Dans le cadre de la traduction des phrases complexes, on utilise les temps du passé pour les affaires passées et la proposition subordonnée s’accorde à la proposition principale selon le corrélative; on utilise le présent pour l’habitude ou le fait; on utilise le futur pour les affaires du futur. Toutes les phrases doivent suivre la concordance des temps selon les sens des phrases et les corrélatives. Ici, on fait des recherches sur l’utilisation de « si ». On doit retenir « si Indicatif Présent, ( la proposition principale ) le présent ou le futur », « si Indicatif Imparfait, ( la proposition principale ) le conditionnel présent », « si Indicatif Plus-que-parfait, ( la proposition principale ) le conditionnel passé ». Par exemple : S’il pleut demain, je ne sortirai pas. Cette phrase est conforme au première formule. Une autre phrase : Je sortirais demain si je le pouvais. C’est conforme au deuxième formule. Pour le troisième formule, on regarde cette phrase « Si je vous avais vu, je vous aurais prévenu. » Dans les propositions temporelles, ils concernent la concordance des temps. Quand il y a des conjonctions « quand,lorsque,dès que,aussitôt que », la proposition principale utilise le passé simple ou le futur simple, la proposition sudordonnée utilise le passé antérieur ou le futur antérieur. Par exemple : Dès qu’il sera arrivé, vous m’avertirez./ Lorsque le tailleur eut enfin achevé sa besogne, il reçut force compliments. On doit retenir ces règles.

4.3 Le subjonctif ou l’indicatif

Si l’on ne sait pas à quel moment utiliser l’indicatif ou la subjontif, on doit préciser le sens de la phrase avant tout. Si la phrase exprime les sens de « la conviction, la déclaration, l’assurance, la déclaration, point de vue, le fait » par le ton affirmative, il faut utiliser l’indicatif. Par exemple : Il me semble que c’est une bonne idée. « 我认为这是一个好主意». J’espère qu’il se guérira vite. « 我希望他早点康复 ». Si tu estimes que c’est mieux comme ça, alors faisons comme tu dis. Dans cette phrase,il exprime la réalité, donc on utilise l’indicatif. Il y a beaucoup de phrases comme ça. Si la phrase exprime les sens de « la volonté, le sentiment, le doute, la suggestion, la demande » par le ton d’hypothèse, il faut utiliser la subjonctif. Par exemple : Je doutais que ce ne soit pas vrai.« 我早就怀疑这不是真的 ». Je souhaite que la maison vous plaise. « 我希望房子能令你们满意 ». Il est possible qu’il ait passé sa grippe à tout la famille. « 他可能把感冒传染了全家 ». En fait, si on veut utiliser le subjonctif ou l’indicatif correctement, il faut retenir des locutions correspondantes. Donc, la compréhension du sens de la phrase est la première et ensuite on réfléchit à l’utilisation de mode. Quand on traduire la phrase complexe, on peut utiliser l’indicatif ou la subjonctif selon le corrélative de la phrase. C’est pourquoi on doit retenir les mots utilisés dans l’indicatif ou la subjonctif. Grâce à cela, on peut faire la traduction plus efficacement.

5. Conclusion

La phrase complexe est un aspect important dans la structure des phrases françaises. La structure est plus compliquée. La phrase complexe vient de la phrase simple. La phrase simple est composée d’un subject et prédicat, mais la phrase complexe est composée de plus de subjects et prédicats. Plusieurs phrases simples forment une phrase complexe. Comprenant la structure de la phrase complexe peut nous aider traduire. Beaucoup de modèles des phrases complexes sont utiles pour l’écrit. En général, dans un article, il y a soixante pour cent ou soixante-dix pour cent de phrases complexes. L’existance de beaucoup de phrases complexes augmente la difficulté de comprendre l’article. Néanmoin, si on utilise beaucoup de phrases complexes justes dans l’écriture du examen, on peut acquérir beaucoup de points. Maîtrisant l’analyse de la structure des phrases complexes françaises peut nous aider apprendre le français profondément et résoudre les difficultés de traduction plus facilement.

Bibliographie

  1. Anne-Marie Garagnon, Frédéric Calas. La phrase complexe - Edition 2002: De l"analyse logique à l"analyse structurale. Hachette Éducation, 2002.
  2. Ahmed Brahim. Syntaxe plurielle de la phrase complexe. Université des lettres, des arts et des sciences humaines, Tunis I, Faculté des lettres Manouba, 1998.
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  4. 陈振尧. 《新编法语语法》. 北京:外语教学与研究出版社,1991.
  5. 马晓红. 《法语2》.北京:外语教学与研究出版社,2007.
  6. 毛意忠. 《法语现代语法》. 上海:上海译文出版社,2002.

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